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Déjà spectaculaire en période estivale, la chute Montmorency est encore plus fascinante en hiver avec son « pain de sucre ». Ce phénomène résulte de la cristallisation de l’eau au pied de la chute, formant un cône de glace. En avant-plan, un homme porte des raquettes, un accessoire d’origine autochtone largement adopté par toute la population. Les raquettes permettent de marcher sur la neige sans s’y enfoncer.
1840 - 1865

Quand les eaux se glacent

Avant l’arrivée des brise-glaces au 20e siècle, le fleuve Saint-Laurent, cette immense étendue d’eau devant Québec, se glace chaque hiver. La ville est coupée du trafic maritime international pendant quelques mois. À l’échelle locale cependant, la population se débrouille pour poursuivre ses activités. Des gens traversent le fleuve, que ce soit en canot à travers des monticules de glace flottants ou carrément sur le pont de glace, selon les conditions. Partout autour de Québec, les rivières et les chutes gelées offrent un spectacle hors du commun. Ces magnifiques paysages hivernaux se révèlent à travers des œuvres du 19e siècle.

Apparition du « pain de sucre » à la chute Montmorency

John Philip Bainbridge Déjà spectaculaire en période estivale, la chute Montmorency est encore plus fascinante en hiver avec son « pain de sucre ». Ce phénomène résulte de la cristallisation de l’eau au pied de la chute, formant un cône de glace. En avant-plan, un homme porte des raquettes, un accessoire d’origine autochtone largement adopté par toute la population. Les raquettes permettent de marcher sur la neige sans s’y enfoncer.
Chronoscope Pouvez-vous situer ce lieu sur la carte? Source: Bibliothèque et Archives Canada Document de domaine public (libre de droits) - no d'acc 1983-47-99 - Date: 1840