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L’objectif principal de l’Îlot Fleurie est de redonner des couleurs au quartier Saint-Roch. Cela est réalisé grâce à des aménagements horticoles et à des fresques peintes par des citoyens. Ainsi, six artistes, dont Christian Basquin et Marie-France Dion, entament une œuvre sur le mur donnant sur le terrain abandonné du projet « La Grande Place ». Ils remplacent les graffitis qui s’y trouvaient.
1974 - 2012

Déclin et revitalisation du quartier Saint-Roch au centre-ville

L’histoire du quartier Saint-Roch, au coeur de Québec, est à l’image du destin de bien des centres urbains nord-américains. À la fin des années 1960, l’artère commerciale qu’est le quartier Saint-Roch est progressivement désertée au profit des nouveaux centres commerciaux en banlieue. Afin de contrer le déclin du centre-ville, un Mail Saint-Roch à ciel ouvert est inauguré en 1968 sur la rue Saint-Joseph. Il est recouvert d’un toit sur plus d’un kilomètre en 1974. Préférant les commerces de banlieue, la population délaisse cependant l’endroit, qui devient désuet. Les années 1990 et 2000 sonnent le début d’un nouvel effort pour faire revitaliser ce centre-ville délaissé, avec des initiatives architecturales et sociales innovantes.

Murales de l’Îlot Fleurie

Jean Vallières L’objectif principal de l’Îlot Fleurie est de redonner des couleurs au quartier Saint-Roch. Cela est réalisé grâce à des aménagements horticoles et à des fresques peintes par des citoyens. Ainsi, six artistes, dont Christian Basquin et Marie-France Dion, entament une œuvre sur le mur donnant sur le terrain abandonné du projet « La Grande Place ». Ils remplacent les graffitis qui s’y trouvaient.
Chronoscope Pouvez-vous associer cette photo à une ou des catégories archivistiques? Source: Ville de Québec Droits réservés: Ville de Québec - Fonds Le Soleil - Date: 1991