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Au début du 19e siècle, la rue Saint-Louis est l’une des principales artères associées à l’élite de Québec, formée principalement de citoyens d’origine britannique. Riches hommes d’affaires et administrateurs de la colonie s’y côtoient au quotidien. Cette œuvre du militaire britannique James Pattison Cockburn montre une vue de cette rue vers 1830.
1829 - 1831

En balade avec le major-général Cockburn

Comme plusieurs membres du personnel de l’armée, le major-général James Pattison Cockburn détient une formation de l’Académie royale militaire de Woolwich. Cette institution poursuit le but de former des militaires à des techniques artistiques de haut niveau afin qu’ils puissent dépeindre les lieux où ils sont déployés. Ainsi, lorsqu’il est dépêché en poste à Québec de 1822 à 1823 puis de 1826 à 1832, Cockburn produit des dizaines de magnifiques œuvres croquées sur le vif. Cet album vous invite à suivre le major-général dans une balade à Québec et ses alentours à travers quelques-unes de ses œuvres.

La rue Saint-Louis, réservée à l’élite de la colonie

James Pattison Cockburn Au début du 19e siècle, la rue Saint-Louis est l’une des principales artères associées à l’élite de Québec, formée principalement de citoyens d’origine britannique. Riches hommes d’affaires et administrateurs de la colonie s’y côtoient au quotidien. Cette œuvre du militaire britannique James Pattison Cockburn montre une vue de cette rue vers 1830.
Chronoscope Saurez-vous situer sur la carte l’endroit où est positionné l’artiste? Source: Musée national des beaux-arts du Québec Document de domaine public (libre de droits) - Date: 1830