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Une richesse naturelle se trouve au cœur de la localité huronne-wendat de Wendake. Il s’agit des chutes de Lorette, aussi connues comme les chutes Kabir Kouba. En langue autochtone, cela signifierait « la rivière aux mille détours ». La chute fait partie de la rivière Saint-Charles, aussi appelée « Akiawenrahk » en langue huronne-wendat. À l’arrière-plan se dresse le moulin à farine Reid, aujourd’hui disparu.
1840 - 1878

Présence autochtone dans la seconde partie du 19e siècle

Les Autochtones continuent à marquer le quotidien de Québec et de ses environs à la fin du 19e siècle. Les Hurons-Wendat vivent principalement dans la localité de Wendake, connue à cette époque sous le nom de « Village huron », située tout juste au nord de Québec. Ces Autochtones pêchent et chassent dans les lacs et rivières environnants. Les Malécites et les Abénaquis, quant à eux, visitent de façon saisonnière la Pointe-de-Lévis, au sud de Québec. La présence autochtone dans la région se reflète dans de nombreuses toiles de l'époque, dont certaines du célèbre artiste huron-wendat Zacharie Vincent.

Les chutes de Lorette, près de Québec

Cornelius Krigkoff Une richesse naturelle se trouve au cœur de la localité huronne-wendat de Wendake. Il s’agit des chutes de Lorette, aussi connues comme les chutes Kabir Kouba. En langue autochtone, cela signifierait « la rivière aux mille détours ». La chute fait partie de la rivière Saint-Charles, aussi appelée « Akiawenrahk » en langue huronne-wendat. À l’arrière-plan se dresse le moulin à farine Reid, aujourd’hui disparu.
Chronoscope Pouvez-vous situer les chutes Kabir Kouba sur la carte ? Source: Musée national des beaux-arts du Québec Document de domaine public (libre de droits) - Date: 1854