Débuté au milieu des années 1960, le projet du Grand Théâtre de Québec connaît diverses péripéties. Les travaux arrêtent lorsque l’Union nationale revient au pouvoir. Le premier ministre Antonio Barrette considère ce projet comme étant contraire aux valeurs culturelles traditionnelles canadiennes-françaises. Toutefois, à l’automne 1967, la construction de l’édifice reprend sous le premier ministre Daniel Johnson, plus ouvert à la modernisation du Québec.

1958 - 2016

Le Grand Théâtre de Québec, héritage de la Révolution tranquille

Le Grand Théâtre de Québec devait être prêt pour souligner le centenaire de la Confédération canadienne en 1967. Après diverses péripéties, il est inauguré le 16 janvier 1971, près de la Colline Parlementaire. L’objectif est de doter Québec d’un complexe de grande envergure pour faire rayonner sa scène culturelle. On y retrouve les salles de spectacle Octave-Crémazie (500 sièges) et Louis-Fréchette (1 800 sièges), ainsi que le Conservatoire de musique. Une phrase célèbre du poète Claude Péloquin orne la murale intérieure qui agrémente le Grand Théâtre. Au fil des ans, les scènes du Grand Théâtre accueillent de nombreux artistes et groupes.

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Le symbole de la modernisation du Québec

Auteur inconnu Débuté au milieu des années 1960, le projet du Grand Théâtre de Québec connaît diverses péripéties. Les travaux arrêtent lorsque l’Union nationale revient au pouvoir. Le premier ministre Antonio Barrette considère ce projet comme étant contraire aux valeurs culturelles traditionnelles canadiennes-françaises. Toutefois, à l’automne 1967, la construction de l’édifice reprend sous le premier ministre Daniel Johnson, plus ouvert à la modernisation du Québec.

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Période représentée: 1968

Source: Ville de Québec Droits réservés: Ville de Québec - Fonds Le Soleil - Date: 1968-10-01

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