Partagez le passé en classe
Des images authentiques, des traces de Québec, des histoires qu’on regarde… et déjà, on veut en savoir plus.
Des archives qui font revivre la ville et ses époques : observer, comparer, imaginer.
Chaque coffret ouvre la porte à la culture d’ici. On regarde le passé pour comprendre le présent… et ça fonctionne dès les premières minutes.
Vous avez cinq minutes? C’est assez pour commencer.
Deux chemins s’offrent à vous : le démarrage rapide… ou l’option enrichie grâce aux annexes pédagogiques. Tout est pensé pour une exploration légère, vivante et inspirante.
- Des coffrets par niveau scolaire;
- Des albums qui accrochent dès la première image;
- Une mise en situation toute faite;
- Des questions simples pour lancer la discussion;
- Des annexes pour aller plus loin.
Lisez, explorez… Partagez!
Ressources pédagogiques
On plonge dans de vieux albums de photos, les archives, là où les enfants d’autrefois prennent la pose à l’école, dans des cérémonies religieuses ou sur la patinoire du célèbre tournoi pee-wee. Que faisaient ces enfants, comment étaient-ils habillés, quelle place avaient-ils dans leur communauté ?
Bien sûr, les archives contrastent avec la vie des enfants d’aujourd’hui, c'est pourquoi il devient intéressant et amusant de les inviter à commencer ensemble à s’imaginer les archives de demain à partir de celles d’aujourd’hui.
Ce coffret propose une immersion dans le quotidien des enfants d’autrefois, à travers des photos touchantes de jeux extérieurs, de moments de tendresse avec des chiens, et d’activités sportives et communautaires. Ces photos révèlent un monde sans écran, où la rue, la neige, les animaux et l’imagination devenaient le terrain de jeu des enfants.
Et si l’on recommençait à jouer dehors ? Ce fil conducteur invite les élèves à réfléchir à leur propre rapport au jeu, à la liberté, aux saisons, aux animaux et aux autres enfants. Il leur permet de faire des liens entre le passé et leur quotidien : où jouent-ils ? Avec qui ? Comment ? Quelle place ont les animaux, la nature ou les sports dans leur vie ?
Ce coffret propose une plongée dans la ville de Québec au 19e siècle, à une époque où les chevaux faisaient partie du quotidien : ils tiraient des calèches, aidaient les pompiers, livraient de la nourriture… et circulaient librement autour des marchés publics.
Avec le fil conducteur “Hier, un cheval a volé une pomme au marché !”, les élèves sont invités à explorer le passé à travers les photos, à s’interroger sur la place des animaux dans la ville, sur la manière dont les gens se déplaçaient, travaillaient, et faisaient leurs courses. Et, serait-ce possible, qu'aujourd'hui, un cheval ait volé une pomme au marché ?
Et si le fleuve devenait un trottoir, un marché et même une piste de danse ?
Ce coffret plonge les élèves dans une époque où les liens entre les individus et les communautés étaient déterminants pour la qualité de vie et le fonctionnement de la société. Dès les débuts de la colonie déjà, traverser le fleuve à partir de Québec avait son importance. L’hiver n’était pas un obstacle. Puisque le fleuve gelait, tous y voyaient une opportunité de plus facilement entretenir ou tisser de nouveaux liens entre les rives. Il était possible de créer un pont de glace entre Québec et Lévis environ un hiver sur trois.
On y découvre les traversées audacieuses sur le fleuve gelé, les activités d’hiver sur la glace, et les usages citoyens qui transformaient le fleuve en espace public. Les photos d’archives révèlent comment les gens s’adaptaient à la nature pour vivre, se déplacer et se rencontrer autrement.
Ce coffret plonge les élèves dans les tout débuts de Québec, bien avant sa fondation en 1608. À travers des images anciennes, des œuvres d’art et des objets archéologiques, ils découvrent les premières rencontres entre les Européens et les peuples autochtones, notamment autour du village de Stadaconé.
Ce coffret permet d’aborder l’histoire autrement. On ne cherche pas seulement à apprendre des faits, mais à questionner les absences, les angles morts, les points de vue. Par l’analyse d’archives et d’œuvres, les élèves sont invités à se mettre en posture d’explorateurs du passé et à réfléchir ensemble à ce que signifie « écrire l’histoire » dans une société construite par plusieurs peuples.
À partir de photographies d’archives, on explore comment les sports sont passés d’une pratique réservée à une élite à un aspect de la vie quotidienne des gens au 20e siècle. L’hiver devient une saison valorisée, et les femmes, les enfants, les classes populaires prennent enfin leur place sur la glace et dans les activités sportives et de loisirs. Les terrains de jeux ne sont alors plus toujours là où on les attend : une rue enneigée, le bord du fleuve ou le pied d’un viaduc peuvent devenir des lieux de rassemblement, de plaisir et même de fierté.
Ce coffret propose une exploration de la ville de Québec à ses débuts. On y découvre les premières habitations, comme celle de Champlain, et les lieux de pouvoir, comme le château Saint-Louis et le Château Frontenac. Ces bâtiments ont changé avec le temps, et les images anciennes permettent de voir comment la ville s’est transformée.
Les élèves peuvent comparer leur ville à celle du passé, réfléchir aux rôles des bâtiments, et créer leurs propres récits à partir d’archives fascinantes.
Cette fiche vous transporte dans un Québec sans voitures, au début du 19e siècle, à travers des images de marchés animés et de scènes hivernales.
Invitez vos élèves à l’époque où il fallait travailler beaucoup physiquement sans machines, avec des outils de base. La vie était difficile pour plusieurs. Les chevaux et autres animaux aidaient autant à la ferme pour cultiver, qu’en ville pour se déplacer et transporter des biens nécessaires. Il y avait peu de commerces, on fabriquait nos choses.
C’était une époque où les inventions avaient comme objectif d’améliorer la vie au quotidien. C’est l’occasion de s’amuser à prendre un recul sur le rythme de nos vies et de se questionner sur ce qui est vraiment nécessaire dans notre société de consommation d’aujourd’hui.
Ces archives révèlent comment certains métiers naissaient directement des contraintes du fleuve et des saisons : le bois qui descendait en radeaux, la glace qui devenait une route hivernale, le courant qu’il fallait traverser malgré les dangers.
Derrière ces images, il y a toujours des personnes : des hommes, des femmes, parfois des enfants, qui ont laissé leur marque dans la mémoire ouvrière et humaine des villes. Elles montrent aussi comment des ouvriers, souvent invisibles dans les manuels, ont pavé, creusé, transporté et bâti les infrastructures de nos villes. En observant ces métiers d’hier, les élèves sont invités à réfléchir aux transformations de la société, à la valeur du travail, et à la façon dont chaque geste, aussi simple qu’il paraisse, contribue à construire le monde dans lequel nous vivons.
Ce coffret invite les élèves à découvrir comment le fleuve a façonné la ville de Québec : son économie, ses liens sociaux, sa culture et son aménagement. À travers les images de Québec, de Lévis et du Saint-Laurent, on explore le rôle central de l’eau dans le développement des sociétés.
Les archives présentées permettent de saisir l’importance du fleuve dans la vie quotidienne et les transformations des territoires autour de 1820. La tournure que prend le développement économique et le quotidien autour de Québec, la ville, influenceront l’histoire du Québec, la province.
Ce coffret invite les élèves dans le Québec du 19ᵉ siècle, à une époque où le fleuve Saint-Laurent et les forêts façonnent la vie de tous les jours. À travers des images d’archives soigneusement sélectionnées, ils découvriront comment l’eau et le bois ont permis de construire des maisons, des bateaux et même des quartiers entiers, tout en assurant le chauffage et le commerce.
Les albums offrent plusieurs angles d’entrée : observer le port animé, se promener dans les rues escarpées de la ville fortifiée et prendre de la hauteur grâce à un panorama unique de Québec et de ses alentours. Les activités proposées encouragent à comparer le passé et le présent, à réfléchir à l’importance du patrimoine et à créer des liens concrets avec la vie d’aujourd’hui.
Découvrez la vie des gens d’une autre époque, nos racines d’aujourd’hui !
Ce coffret plonge les élèves au cœur de quatre moments difficiles vécus par la ville de Québec : les débuts fragiles de la colonie, les bombardements de la guerre de la Conquête, les grands incendies du 19e siècle et la tragique construction du pont de Québec. À travers des cartes anciennes, des gravures saisissantes, des photographies d’archives, on découvre une ville qui a dû se relever, encore et encore. Des familles qui reconstruisent avec les mêmes briques noircies. Des communautés qui apprennent à vivre avec les traces des drames. Des ouvriers qui poursuivent un chantier malgré les morts, et des artistes qui dessinent pour qu’on n’oublie pas.
Ce coffret invite à considérer le territoire québécois comme le point de départ d’un vaste mouvement de peuplement, amorcé bien avant la colonisation, marqué par la sédentarisation, l’émergence des villes, le commerce, les croyances et l’organisation sociale. La ville de Québec, fondée en 1608 par Samuel de Champlain, est devenue un modèle de développement pour de nombreuses localités établies le long du fleuve. Car ici, le fleuve a toujours été, pour les Premières Nations comme pour les Européens, une route, une source d’eau, un accès aux ressources et un moteur économique, comme en témoignent les recherches archéologiques.
Ce coffret invite à comparer l’histoire du Québec aux grandes étapes de l’histoire de l’humanité. Le territoire québécois a lui aussi été le point de départ d’un vaste mouvement de peuplement, amorcé bien avant la colonisation, marqué par la sédentarisation, l’émergence des villes, le commerce, les croyances et l’organisation sociale. La ville de Québec, fondée en 1608 par Samuel de Champlain, est devenue un modèle de développement pour de nombreuses localités établies le long du fleuve. Ici, depuis des millénaires, le fleuve Saint-Laurent est une route, une source d’eau, un accès aux ressources et un moteur économique essentiel aux sociétés qui s'y sont développées.
Bâtir une ville, c’est bâtir une société. Les ponts, les châteaux, les rues : chaque pierre posée raconte une époque, une vision du progrès et des choix politiques. Ce coffret propose un voyage à travers trois grands chantiers emblématiques de Québec — du Château Frontenac aux ponts qui relient les rives du fleuve — pour réfléchir à l’industrialisation, à la modernisation du Québec et aux valeurs qui les ont portées. Ces constructions marquantes révèlent notre rapport à la technique, au pouvoir et au territoire ; elles témoignent de la manière dont l’industrialisation a transformé non seulement l’économie et les structures sociales, mais aussi notre façon de voir le monde.